Principaux protagonistes du récit

 

Les principaux protagonistes du récit

 

  Léon Noguéro^[1], 26 ans en septembre 1939, originaire du village de Cadéac-les-Bains situé en vallée d’Aure, département des Hautes-Pyrénées. Célibataire. Ouvrier électricien, réside lors de la mobilisation générale chez son beau-frère Louis et sa sœur Léonie au : 63 rue Alsace-Lorraine à Tarbes.

 

  Raymonde Noguéro, mère de Léon, 68 ans en 1939, née Ramona Bielsa Bernad^[2], veuve de Santiago Noguéro^[3] Escalona décédé le 28 février 1938 à Cadéac-les-Bains.

Résidence : Cadéac-les-Bains (Hautes-Pyrénées).

 

  Léonie Noguéro^[4], 41 ans. Sœur cadette de la fratrie. Épouse de Louis Durrieu. Employée de maison, femme au foyer.

Résidence : Tarbes (Hautes-Pyrénées).

 

  Louis Durrieu^[5], 45 ans. Époux de Léonie et beau-frère de Léon. Agent de sécurité à la Compagnie des Chemins de fer du Midi (S.N.C.F. Gare de Tarbes). Ancien « poilu » de 14-18. Résidence : Tarbes (Hautes-Pyrénées).

 

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[1] Né le 16 août 1913 à Cadéac-les-Bains (65 Hautes-Pyrénées).

[2] Née le 27 février 1871 à San Juan de Plan (casa Serena), vallée de Gistaín, Haut-Aragon, Province de Huesca, Espagne.

[3] Née le 5 mars 1958 à Gistaín (casa Mercader), vallée de Gistaín, Haut-Aragon, Province de Huesca, Espagne. Domestique 8 années chez Anglade Désiré à Vielle-Louron. Fermier 9 années chez Jean-Marie Navarre à Avajan. Métayer auprès de la famille Soulé Philadelphe de Cadéac (de 1900 à 1904).

[4] Née le 28 janvier 1898 à Avajan, vallée du Louron (65 Hautes-Pyrénées).

[5] De son vrai prénom « Jean-Louis », né le 9 février 1894 à Bourisp, vallée d’Aure (65 Hautes-Pyrénées), fils de Laurent Durrieu et de Marie-Louise Fréchou. Incorporé au 49^e RI le 21/09/1914, passé au 5^e RI Coloniale le 21/02/1918 et le 17/08/1918 au 201^e RI. Dès 1920, affecté spécial des Chemins de fer du Midi, homme d’équipe à Hendaye puis gardien en gare de Tarbes. Réintégré le 01/12/1944.